Conte :

Voyages vers les cités lointaines :

 contes avec illustrations

écrit par dominique

1. Les 3 sœurs.

 

Trois sœurs entreprirent un voyage. On les appelait les sœurs Lijado…

Elles avaient le goût des voyages et l’envie d’écrire afin de conserver toutes sortes de recettes, de témoignages, mais aussi de décrire des fêtes et des cérémonies, de noter les naissances et les morts des habitants des cités qu’elles visiteraient, de féliciter les mariages et les fiançailles des jeunes gens, d’étudier les coutumes et les usages, de mesurer les habitations et de dessiner les plans, d’aquareller les décorations des intérieurs, toucher les étoffes et les soieries sans oublier de caresser les animaux domestiques aussi étranges seraient-ils.

La dégustation des plats traditionnels ou audacieux serait bien sur le quotidien agréable de ces visites et les rencontres avec les cuisinières ou les cuisiniers apportera l’épice de ces aventures

Elles voulaient rencontrer les vieilles personnes qui avaient dans leur mémoire des souvenirs et des émotions, des dates et les fêtes des saisons. L’organisation de ce voyage fut une longue préparation, il fallait s’alléger au maximum, sans oublier l’essentiel ; une trousse de crayons scintillants, ces fameux crayons qui emmagasine au fur et à mesure de l’écriture les mots et les parfums, mais aussi les chants et les notes de musiques. L’utilisation de ces crayons était simple mais les conditions difficiles à réunir … elles seules avaient réussi jusqu’à présent à jouer de ces instruments si particuliers et le plus durs restait à venir…

Voici le début des voyages des sœurs Lijado … ( à suivre )

 

La cité des souliers de soie...
La cité des souliers de soie...

2. La cité des souliers de soie

 

 

Les vers à soie avaient été amené de Chine depuis si longtemps qu’ils s’étaient

tellement bien acclimatés que leur fil avaient une qualité irréprochable.

Les mûriers dont ils se nourrissaient étaient d’un vert brillant et de grands vergers étaient couverts par ces beaux arbres. La fabrique de soierie et les ateliers étaient parés de grandes tentures colorées. Le soulier de soie était en fait une ballerine en cuir souple recouvert d’un satin de soie brillante. De fines coutures assemblaient les différentes pièces ensembles. Une ganse en biais de velours de soie ornait la ballerine et à l’arrière du soulier le ruban se repliait en un noeud plat fin et très élégant. Ces souliers étaient chacun un chef d’oeuvre. Les doublures étaient d’une couleur aléatoire ce qui rendait chaque pièce unique et on créait des bains de couleurs différentes chaque semaine, ce qui faisait des créations nouvelles à chaque expédition. Il y avait des ballerines plates, ou à petits talons ou pour les élégantes des talons plus hauts et plusfins. Les jeunes filles à partir de 13 ans harcelaient leur mère pour aller à la fabriquedes souliers de soie, à 15 ans elles obtenaient enfin le passeport pour la 1ére visite et les pères levaient les yeux aux ciel tout en admirant leurs jolies princessesdevenir des jeunes filles….

À suivre

 

 

 

La cité des verriers
La cité des verriers

3. La cité des maitres verriers

 

...Riama avait mis beaucoup d’espoir dans cette mission, d’elle dépendait l’avenir des pays bleus.
La première fois qu’un incident lui avait été rapporté, elle avait pris note de ces faits et avait gardé ce dossier sur son bureau, mais rien ne semblait trop grave.

Il s’agissait d’un évènement étrange mais dont les conséquences pouvaient être contournées et des solutions rapides trouvé.
Il s’agissait de la fabrique de verre… depuis des générations la formation des apprentis était assuré par les maîtres verriers, les secrets et les recettes transmises, Des nouveautés et des créations proposées et exposées régulièrement maintenaient la belle réputation des artistes.

Mais lorsque l’on se rendit compte que les productions et les pièces sortant de la fabrique semblaient ternes et sans savoir faire, il y avait déjà quelque temps que le problème existait.
Que se passait-il donc dans cet atelier où les plus belles pièces avaient été crées ?
Dans les maisons, les villas et les lieux prestigieux, pouvoir suspendre un lustre aux lumières magnifiques, aux couleurs opalescentes, aux formes défiant les imaginaires, et offrant des éclats aussi brillants que des milliers de diamants était une satisfaction et rendait les nuits magiques………

 

06 12 38 24 10

dominique@massini.fr 

L' atelier :

42. Chemin de la Carasse 33950 

Lège Cap Ferret 

 

Cours à l'atelier en groupe

20 € la séance de 4 h 

ou

Cours à domicile 45 € à

Bordeaux et sur le Bassin d'Arcachon